Les années passent, les superstitions perdurent... Inexorablement ! De fait, le XXIe siècle demeure sujet aux superstitions
On peut s'étonner d'un tel ancrage dans la mémoire collective, mais au registre des croyances le temps ne semble avoir aucune emprise.
Ainsi de la plus commune des superstitions, celle du vendredi 13 à la plus obscure, chacun d'entre nous peut croire en telle ou telles superstitions.
De la plus commune à la plus surprenante, HOLAVEO.COM vous invite à ouvrir le grand livre des croyances et autres superstitions pour les explorer au fil du temps !
De l'eau rien que de l'eau au cœur des croyances
L'Inde révère toujours les eaux fécondatrices du Gange.
L'Égypte a mis au rang de divinité le Nil.
Les Grecs rendaient les honneurs divins aux ruisseaux, aux fontaines, aux fleuves et aux mers. Les Slaves, les Germains et les Celtes adoraient la Vistule, le Dnieper, le Boug polonais, le Rhin...
Parmi les superstitions les plus surprenantes, on raconte que dans l'Antiquité, les Grecs plongeaient dans l'eau de source les pIeds des jeunes mariés pour leur assurer bonheur et prospérité.
Dans plusieurs régions de France, les nouvelles épouses étaient conduites dans le même but à une fontaine dite miraculeuse puis elles devaient la traverser en riant.
En Bretagne, les marins sont bien inspirés de ne pas prendre la mer le jour de la Toussaint. En Écosse, prendre la mer après avoir croisé un lapin, un lièvre ou une femme marchant pieds nus est annonciateur d'un naufrage.
En Irlande, les prêtes des villes côtières laissent toujours ouvertes leurs églises quant ils sont amenés à naviguer. Les pècheurs évitent de partir en mer le vendredi.
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Sources:Dictionnaire des superstitions deR.Morel&S.Walter. EdsUnivers secrets-Marabout