Les prophéties et révélations de Josyp Terelya

Né en 1943, en Ukraine , Josyp Terelya fut élevé par sa grand-mère maternelle, fervente catholique. À son tour, Il devint un fervent militant catholique.

Pour avoir refusé de renoncer à sa foi, il fut incarcéré dès l’âge de 19 ans

Terelya a survécu à près de 23 ans d’emprisonnement et de tortures dans des prisons soviétiques ! Alors qu’il était sur le point de mourir en prison, il pria la Vierge Marie. Une lumière remplit alors la petite pièce où il était enfermé. Il affirma que la Vierge Marie lui était apparue et qu’elle était venue pour le sauver.

Selon Michael Brown, un de ses amis américains, il émanait de lui un charisme indéniable. C’était un orateur enflammé et même si quelques-unes de ses dernières prophéties, dans les années 1990, suscitèrent la controverse, personne ne pouvait douter de son héroïsme et de sa foi; en témoignent son expérience en prison et l’apparition qu’il a eue à Hrushiw (Grouchiv ) dans son Ukraine natale

À partir de la 1e apparition, Josyp Terelya développa des dons extra-sensoriels et affirmait qu’il recevait des messages de la vierge Marie comme lors de ces deux premières apparitions en prison.

Le 12 février 1970, dans la prison de Vladimir, à 165 km au nord est de Moscou, la Vierge l'invite au pardon inconditionnel envers ses ennemis, les Russes, et lui délivre ce message prophétique :

« Vous avez encore devant vous des années d'épreuves et d'humiliation. La Russie reste dans l'obscurité et dans l'erreur. Jusqu'à ce que le peuple se repente et accomplisse l'œuvre de mon Fils ; il n'y aura pas de paix, car la paix ne peut venir que là où il y a justice. Priez pour vous ennemis, oubliez-les, et une route de lumière s'ouvrira devant vous. »

Une seconde apparition a lieu deux ans après :

« Le 12 février 1972 [...], j'étais au secret. La chambre était glaciale à mourir ; je souffrais jusqu'à la racine des cheveux. Une lampe en suspension éclairait dans ma chambre. J'enlevai le manchon et me chauffai les mains ; mais le gardien me vit par le judas. Il éteignit la lumière. [...] Je ne pouvais bouger aucun membre. Je me suis couché sur le lit pour mourir. A ce moment, je sentis le contact chaud d'une main de femme, douce comme du lait. J'étais réchauffé. Je sentais de la chaleur dans la pièce. Je pensai que j'étais halluciné ou en train de mourir. Mais alors, j'entendis la voix : « Vous m'avez appelée, et je suis venue vers vous. Vous ne croyez pas que c'est moi ? »

« Alors, je vis devant moi une jeune femme. Cette première fois, elle me dit :

« Vous n'allez pas être libéré de cette prison ; vous n'avez fait que la moitié du chemin, mais ne craignez rien, je suis avec vous. »

A suivre...

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