Superstitions - Hier à la mode, aujourd'hui oubliées et demain ?

On subit tous plus ou moins l'influence de croyances anciennes, on prête souvent attention aux superstitions et aux suggestions des uns et des autres pour être épargné de leurs conséquences.

La citation suivante de Marie de Heredia (1875-1963) illustre parfaitement l'une des approches possibles :

« Je suis très superstieuse... Au point de m'obliger à faire un voyage si je casse ma glace à Paris, pour en jeter les morceaux et débris dans la mer ».

Au registre des croyances et autres superstitions, les références ne brûlent pas, elles se consument parfois pour mieux renaîtraient de leurs cendres !

Pour preuve, saviez-vous qu'une jeune femme sur le point de se marier presse des pépins de pommes et de poires entre ses doigts et que plusieurs d'entre eux tombent par terre, elle peut être assurée de l'amour de l'élu de son cœur comme de sa fidélité ?

Si aucun pépin tombe, méfiance ! Son prétendant a l'allure d'un cavaleur !

Autre superstition à s'être perdue dans la nuit des temps : Une jeune fille, qui le neuvième jour de sa treizième année, voit la pleine Lune, aura la chance de vivre une existence couronnée de succès dans ses entreprises.

Enfin il fut un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître où l'on soulignait que toute personne qui voyait un couple de cigognes voler était un présage annonciateur d'une union; Pour l'observateur lui-même ou l'un des membres de sa famille... À suivre !

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